Résume des épisodes précédents

Profitant d'un moment de tranquillité, vous prenez en main le tome relié de cuir où le groupe tient un journal rudimentaire. Avec un soupir d'aise, vous parcourez les notes relatant les événements passés du groupe.

Première entrée:

Nous voilà embauchés par Dame Neptalia, une noble de Laelith (certains par l'intermédiaire de ses "contacts") pour résoudre le mystère derrière la vague de meurtres et de cambriolages dans la Terrasse de la Chaussée du Lac. D'après elle, il s'agirait d'un groupe de vampires, mème si elle ne comprend pas comment un vampire oserait s'établir dans la cité sainte et y agir avec aussi peu de subtilité. Elle explique que la garde semble peu motivée à enquêter sérieusement car la famille noble à sa tête juge inutile de s'occuper de "rumeurs populaires".

Elle nous donne également les informations qu'elle a réuni jusqu'à maintenant: ce groupe aurait pris la place d'un autre groupe il y a environ trois mois, ses membres seraient tous vêtus d'une cape noir à capuche et d'un bandeau orné d'un oeil argenté sur l'oeil droit, et en recoupant la localisation des différentes scènes de crime et les apparitions des "vampires", elle estime que leur repaire devrait se trouver dans l’Échelle du Sabot.

En échange d'un rapport sur la situation suffisamment complet pour forcer une intervention de la garde (nombre et nature de ses membres, identité de leur chef, et localisation exacte), elel nous promet la coquette somme de 250 pièces d'or.

Deuxième entrée:

Après avoir retrouvé Malark, le chef d'une bande de petites frappes dans la Chaussée du Lac, nous avons pu obtenir quelques informations supplémentaires, et nous rendre rapidement sur les deux dernières scènes de crime.

Sur la première, une ruelle dans laquelle une prostituée a été retrouvée égorgée, nous avons pu relever des traces causées par des griffes métalliques sur un mur puis sur quelques toits. Autre fait notable, au sol se trouvait une flaque de sang restée liquide malgré le passage du temps. Après en avoir recueilli un peu et l'avoir examiné brièvement, il semblerait que le sang était mélangé à une sorte de poussière d'argent.

Sur la seconde, la maison d'un petit marchand et sa famille, nous avons trouvé Elliott, fils cadet et désormais unique survivant de la famille. Après lui avoir dispensé un peu de réconfort et quelques conseils, nous nous sommes dirigés vers la cave pour y trouver, cachée sous un tonneau, l'entrée d'un tunnel récemment creusé.

Troisième entrée:

Après quelques minutes d'exploration dans le tunnel, nous avons trouvé et ajouté à notre effectif Amarra, une elfe des bois récemment capturée par les "vampires" dans le but de s'approvisionner régulièrement en sang frais et avons tué son ravisseur. Sur son cadavre, nous avons pris un de ces fameux bandeaux, qui nous as permis de révéler un passage vers les égouts de la ville.

Dans celui-ci, nous avons pu trouver et prendre par surprise deux autres de ces prétendus vampires. Si nous avons malencontreusement tué l'un des deux, nous avons pu capturer le second, puis l'avons ramené chez Neptalia pour l'interroger. Il n'a pas pu nous donner énormément d'informations, mais voici ce que nous avons pu recueillir:

-leur nouveau chef est arrivé avec un petit groupe de fidèles et a décimé le groupe précédent.
-il a imposé à ses membres de ramener, en plus de leur butin habituel, une cruche remplie de sang, dans son "bureau", caché grâce à un sort similaire à celui du tunnel que nous avions exploré.
-les quatre qui sont arrivés avec le nouveau chef semblent légèrement plus forts et plus rapides que le reste de la bande
-le chef inspire une réelle terreur à notre prisonnier, qui l'estime capable de tous nous éliminer. Il porte une cape rouge et est capable de voir à travers l'oeil argenté que porte ses disciples.

A la mention de ce pouvoir, Neptalia lui a demandé si l'homme avait un accent particulier, mais notre prisonnier n'a pas pu le confirmer précisément. Notre employeuse nous héberge pour la nuit pendant qu'elle vérifie quelque chose, mais semble très fâchée de la façon dont nous nous sommes présenté chez elle.

Quatrième entrée:

Pendant le petit-déjeuner chez notre employeuse, nous avons fait la rencontre de deux halfelins, Callie et Kali, respectivement recrutée par Kyt pour ses talents de combattante et "trouvée" par Arcadia alors qu'elle rodait autour de la maison, preuve que notre "invité" d'hier a été remarqué.

Après avoir lourdement réprimandé Kyt à cause du départ inopiné de Glorfindel, Neptalia nous a résumé le fruit de ses recherches de la nuit: Le chef des vampires présumé serait Armand Glassgrass, un aventurier qui s’était installé avec sa compagne pour fonder une boutique d’alchimie. Après avoir tenté de rouler un chef de la pègre locale, il aurait eu des soucis à chacune de ses livraisons, le poussant lentement vers la faillite. Sa femme aurait disparu soudainement il y a un an, et les gens ne le voyait plus sortir de chez lui pendant deux semaines. Quand la garde est passée pour vérifier qu’il était encore en vie, la maison était vide, à l’exception de trois corps non-identifiés.

Nous nous sommes concertés sur la marche à suivre, puis avons décidé, dorénavant accompagnés d'Arcadia, de retrouver Malark pour naviguer dans le Cloaque, le réseau souterrain de la ville où se cache probablement notre suspect et son réseau.

Un de ses associés nous a guidé vers un de ses repaires, dans la cave de la Taverne de la Grosse Lulu. Malheureusement, nos ennemis l'ont également trouvé, et Malark n'a pas survécu à la rencontre. Heureusement, nous avons pu tuer un de ses agresseurs, et capturé un second au prix de quelques blessures.

A présent, notre prisonnier et nous mêmes, ainsi que le corps de Malark et les restes d'une des silhouettes encapuchonnées, nous trouvons dans la cave de la taverne, mais la salle est recouverte des cadavres et du sang des gens qui s'y trouvaient. Notre futur immédiat parait bien inquiétant, car même si nous ignorons si la menace est toujours présente, la garde risque d'arriver d'une minute à l'autre...

Cinquième entrée:

Fort heureusement, grâce à notre rapidité, notre réflexion, et soyons honnêtes, une bonne part de chance, nous avons pu nous échapper de ce piège à rat en emportant avec nous notre prisonnier et le corps de Malark, dans l'espoir de trouver un moyen de le ramener à la vie. Ayant gagné du temps pour éviter que quelqu'un ne découvre le massacre à l'auberge grâce à la ruse d'un des halfelins, nous avons pu fouiller la cave avec plus de détails. Après quelques heures de marche dans un tunnel dérobé dans le repaire de Malark, nous sommes arrivés directement dans le quartier général d'un groupe de voleurs, plus particulièrement leur cantine. Vu l'entretien du tunnel et le système utilisé pour en cacher l'entrée, je crois que notre ami au maillet a quelque chose à nous avouer...

Dans tous les cas, nous avons pu obtenir d'Hector, notre prisonnier, quelques informations sur la où nous nous trouvons. Cette cachette est celle de son groupe de voleurs, avant même qu'Armand Glassgrass n'en prenne la tête. Il nous a également fourni quelques indications sur la façon dont l'endroit était agencé, que nous avons promptement mis sur papier. Bien qu'incapable de nous confirmer la nature d'Armand et de ses quatre lieutenants (Alpha, Beta, Gamma et Delta), il nous a donné d'importantes informations sur l'unique entrée de leur base (sans compter la notre, toujours inconnue des bandits) et sur le niveau de sécurité de leur maitre.

Avec un peu d'infiltration et de recherche, nous avons récupérer un plein bocal du sang qui ne coagule jamais, le journal de leur alchimiste détaillant son utilisation, et une des dagues qui sert à le créer. Avec tous ces éléments et notre prisonnier, sans compter les quatre bandeaux récupérés au total, Arcadia nous as permis de disparaitre sans laisser de traces en demandant à sa soeur d'ouvrir un portail joignant sa position et le manoir familial.

A présent, il est temps de faire notre rapport à notre employeuse, de réunir toutes les informations et les preuves rassemblées jusqu'à présent, et décider de la marche à suivre.

Sixième entrée:

Neptalia semble être satisfaite de notre rapport. Grace à nos informations, elle a pu forcer la garde à lancer une expédition contre le groupe de voleurs, démantelant leur organisation et arrêtant trois des quatres lieutenants, ainsi que de nombreux membres surpris par l'arrivée en trombe de la garde dans leur repaire qu'ils pensaient si sécurisés.

Les habitants de la Chaussée du Lac et les voyageurs qui y transitent devraient désormais dormir en sécurité, du moins jusqu'à ce qu'une nouvelle menace se présente, et le butin des voleurs, saisi par la garde, s'est avéré assez juteux pour alléger les impôts locaux pour l'année à suivre.

Je suis néanmoins anxieux, car le chef et un de ses lieutenants ont pu s'enfuir avec une partie de la trésorerie, et même si nous n'avons pas laissés de traces lors de notre incursion, j'ignore si notre anonymat sera préservé vu l'ampleur de l'affaire. Ampleur d'ailleurs agrandie par notre employeuse, car elle aurait retrouvé des documents prouvant l'implication de la famille noble en charge de la garde du quartier dans la création de ce groupe criminel, lui permettant de prendre le poste de Bailli de la Chaussée du Lac.

Autre heureuse nouvelle, en accompagnant Arcadia pour ramener le malheureux Malark à la vie, nous avons fait la rencontre du paladin Robert Lebeau, de l'Ordre de Torm, qui semble s’être pris d'affection pour nous et prêt pour partir à l'aventure.

Cela tombe bien, car après nous avoir donné notre paie individuelle de 200 pièces d'or, Neptalia nous a confié une nouvelle mission, ou pour être plus précis l'a donné à Panorium, qui a reconnu que des bras supplémentaires seraient les bienvenus: grâce à une sorte de bateau pliable et des fonds de 2500 pièces d'or, nous devons retrouver la baguette d'Orcus, objet sinistre qu'un ami de Neptalia gardait sous sa garde avant qu'il soit subtilisé par un culte mystérieux.

Nous avons liberté totale pour retrouver cet objet, mais nous n’avons aucune piste, si ce n'est que la cité de Bental est un repaire de voleurs, de contrebandiers et de receleurs notoires qui pourraient nous fournir quelques informations.

Septième entrée (Lyda):

Nous étions maintenant prêts à appareiller sur un bateau prêté par Neptalia, et mené par un certain marin nommé Paenga Jaibalène, engagé par Panorium, chacun d'entre nous faisant ses dernières courses avant de partir. Après avoir offert à Arcadia des gâteaux (c'est quoi déjà ?) dont elle raffole, celle-ci m'a donné un médaillon fait d'une pierre rouge. J'ai également croisé Malark, qui semble s'être quelque peu remis de ses "mésaventures". Amara a également mené quelques recherches sur l'ex-membre Glorfindel, qui semble avoir laissé entendre à qui voulait que la compagnie, dont le nom n'a pas encore été officialisé, étaient des gens fort peu fréquentables... Je me demande pourquoi.

Une fois embarqués sur le petit navire, nous sommes partis sur le lac de Laelith, de la taille d'une mer. Le premier jour s'est passé sans trop d'encombres, Kali s'extasiant sur toutes les merveilles s'offrant à elle, Robert vomissant et priant, et moi buvant et essayant de trouver réconfort auprès de mes compagnons.

Le lendemain, nous avons pu constater que l'étrange médaillon offert par Arcadia nous permet en réalité de communiquer avec celle-ci si son porteur le souhaite, et avait besoin d'être 24h autour du cou de quelqu'un pour être activé. Notre amie Tieffline nous a informé que Malark serait bientôt présent à Bental, pour nous prêter main forte, et que nous croiserions peut-être Kyt elle-même sur le chemin du retour.

C'est le jour suivant que nous avons eu quelques... Problèmes. Kali étant restée seule dormir sur le pont et nous dans la cale. A notre réveil, nous étions enchaînés dans le noir. Kali, elle, était dans un placard, et avait été frappée à la tête. Fort heureusement, celle-ci a réussi à s'échapper, mais semblait persuadée que j'étais la responsable de ces évènements (comme si enchaîner des gens était ma spécialité... Voyons !). Après nous avoir libérés (et m'avoir mis un coup... A charge de revanche, même si, de l'extérieur, c'était fort amusant), Robert le Paladin Humain, Kali la Druide Halfeline, Amara la Rôdeuse Elfe Sylvestre et moi la Guerrière Drow, avons découvert que nous étions dans un étrange endroit, sous l'eau.

Notre stupeur fut encore plus forte en rencontrant d'étranges créatures, comme des poissons, mais avec des jambes... Ou des sirènes à l'envers d'après Robert. Aucun de nous n'a pu dire de qui ou quoi il s'agissait... Toujours est-il qu'elles semblaient plus effrayées qu'autre chose, et ont refusé que nous allions dans une des pièces. Les croyant non-offensives voir amicales, nous les avons suivi dans les couloirs. C'est alors qu'une autre créature, plus grande mais semblable, est apparue, les petits se précipitant vers lui, et celle-ci lança une sorte de fer au bout d'une corde pour attraper Kali au cou.

Grâce à nos efforts, nous avons réussi à neutraliser les créatures... Pour l'instant. Mais quelque chose me dit qu'autre chose de pire se prépare. Nous ignorons quelles horreurs ou merveilles se trouvent encore dans ces profondeurs... Et quand nous arriverons à Bental.

Moralité: même sur un bateau, il vaut mieux monter la garde.

Lyda

Huitième entrée (Lyda)

Nous étions donc piégés sous l'eau avec ces étranges créatures.
Délivrée, la moine Callie a pu nous dire qu'il s'agissait de Kuo Toai, des créatures marines très proches de leurs dieux, et victimes par le passé de dévoreurs d'âmes.

Après avoir ficelé les créatures, nous nous sommes attelés à l'exploration des lieux. Plusieurs portes contenant des choses étranges: des oeufs, des idoles de toutes sortes (comme une botte avec un marteau) que ces misérables créatures semblent adorer. Dans tout cela, nous avons finalement pu retrouver tout notre équipement, ainsi que certaines de leurs "armes".

Dans une des salles, nous avons vu ce qui semblait être deux forgerons, lançant des pièces d'or dans un four. Après les avoir neutralisées, nous avons commencé à... Partager leurs richesses, dont la salle était pleine, avec nous-mêmes.

C'est alors qu'un coffre transpirant la magie, surmonté de ce qui semblait être la tête de l'Orque Panorium, est apparu dans l'air, se mettant à répéter les paroles de Panorium juste avant qu'il ne neutralise l'une des créatures. Après quelques tests arcaniques par l'Orque, et avoir défini qu'il s'agissait bien de magie (même si, curieusement, il ne s'agissait pas d'un sort) -de la saleté, la magie, je l'ai toujours dit !- nous avons pris la décision de quitter les lieux au plus vite.

Nous avons alors rejoint ce qui semblait être des conduits de bulles menant vers la surface. Sur le chemin, nous avons découvert avec stupeur que nos prisonniers, pourtant bien ficelés, avaient disparu. Une fois arrivés à l'air libre, quelle ne fut pas notre surprise de découvrir une sorte de créature gigantesque, à tête de poulpe, nue mais habillée d'algues, à laquelle l'un des Kuo Toai semblait faire la discussion. La créature, heureusement, a regagné les profondeurs sans s'attaquer à nous. Nous pensons qu'il s'agissait d'une de leurs déesses.

Une fois sur le navire, récupérés par le marin (dont le nom est en fait Paenga Jaibalène) j'ai lancé une pièce et me suis inclinée pour saluer cette nouvelle divinité des profondeurs... Pas forcément suivie de mes camarades, trop heureux d'être encore en vie. Malgré qu'il y ai eu réflexion pour savoir s'il fallait lui sacrifier le marin.

Nous avons, par la suite, accosté à Bental. Après être tombés sur des gardes qui voulaient nous escroquer, et avoir déposé toute arme plus grande qu'une dague ou un couteau (la Moine Halfelin a pu garder son bâton) nous nous sommes présentés à la capitainerie pour payer notre du pour laisser le navire au port. Paenga Jaibalène nous a d'ailleurs conseillé de trouver un plus gros bâteau.

Nous avons retrouvé Malark, que nous avons engagé pour nous aider, celui-ci nous signalant que Kyt était également de la partie pour cette mission.
Nous lui avons appris que nous cherchions la baguette d'Orcus (dieu/démon). Il nous a dit qu'il ouvrirait l'oeil auprès de la pègre locale, et chercherait à en savoir plus. A la faveur de la nuit, Malark m'a également appris qu'il n'avait plus autant d'influence à Laelith, raison pour laquelle il avait accepté ce travail.

Au matin, Malark nous a conduit à travers les bazars, jusqu'à une espèce de champignon, qui nous a dit "Bonjour."

Je ne sais quelle sorcellerie est à l'oeuvre, ni ce que peut bien nous apprendre un champignon, mais il faut bien commencer quelque part. Je suis déjà bien heureuse de ne pas avoir fini dans l'estomac d'un de ces poissons, ou de leur déesse.

Moralité: il ne faut pas sous-estimer son ennemi. Surtout si celui-ci est un homme-poisson et qu'il a un puissant dieu de son côté !

Lyda

Bon j'vais essayé d'faire un résumé de s'qui s'est passé, mais décidément j'en reviens à me demander comment les gens dans cette ville on réussi a devenir une civilisation.

Déjà on a croiser un gros Champignon bizarre, mais fort sympathique qui nous as dit que la baguette est en possession d'un chapitre d'Hilminia et qu'un gars qui travail pour un nobliaux de la ville voulait savoir si c'était possible d'enchanter un bâton pour qu'il fasse pareil que la baguette.

Et c'est à partir de là que tout s'est corsé ! Malark qui gardait la boutique du Champignon à disparu. Bon s'il y avait que ça, ça aurait été facile, mais j'ai essayé d'entreprendre un interrogatoire méthodique des marchands des halles pour savoir ou était passé Malark mais j'ai sous estimé la différence entre ma culture et la leur. Ils répondait pas au questions... Enfin si, ils répondaient, mais à des questions que j'ai pas posée. J'ai rien appris sur ce que je voulais, par contre je sais plein de truc sur la façon de gérer un étal dans cette foutu ville de glandu.

Enfin bon, j'ai réussi à glaner des trucs quand même, mais j'ai ramé plus que Paenga pendant une tempête. Malark à été embarqué par 3 bonhommes avec des toges noir et des yeux argenté sur les épaules. On réfléchie un peu ensemble, on trie les infos et on se dit que les mecs font probablement partie d'un culte ou quelque chose comme ça.

Après une intense réflexion, la meilleure théorie qu'on a c'est de chercher les artisans qui fabrique des yeux. Alors j'en trouve un, j'y pose des questions simples, et quand j'y demande s'il a vue des mecs avec des toges et des yeux, il me dit qu'il à un commerce à gérer, qu'il fabrique ses yeux avec toutes sortent de métal etc etc ! Bordel, c'est quoi le rapport avec ma question !!! J'ai vu des clans finir dans les lymbes pour moins que ça...

Donc, pour résumé, on croise Kyt qui propose une alliance le temps de péter la gueule au culte secret. Un nabot est ensuite venu pour confirmer ce qu'on savait déjà, mais il a quand même mentionné la trouspinette, le lieu ou Malark aurait été emmené.

Dixième entrée :
Nous étions à la recherche de Malark, aux côtés de cette très chère Kyt, qui nous guidé vers la Trousse-Pinette, distillerie/taverne cachant une boutique de poisons (légaux à la vente mais pas à l'utilisation dans ce royaume -oui, ne cherchez pas la logique-). Pendant que la Halfeline Kali nous donnait des leçons sur le fait que les poisons "c'est mal" (oui, ne cherchez toujours pas la logique, ces créatures sont incompréhensibles), Kyt nous faisait introduire au maître des lieux.

Celui-ci s'avéra être un Rat-Garou nommé Chris... Qui malgré son statut bestial, tout comme l'Orque Panorium, s'avéra avoir son utilité. En effet, il s'agirait d'un puissant fabriquant de poison (comme quoi, on ne peut juger à l'apparence, comme disent les faibles et les idiots...) envers qui Kyt devrait beaucoup. Nos cibles, accompagnés de Malark, étaient bien passés chercher une commande, et il nous indiqua leur repère… A condition de ne pas l’insulter de la sorte à nouveau. Il semblerait que les déguisements créées par Kyt et nos talents de comédiens n’aient pas suffit à le tromper.

Nous avons descendu, toujours accompagnés de la Changelin nommée Kyt, une looooongue échelle. Même les plus longues chaînes des esclaves au domaine de ma mère ne me semblent pas aussi longues. Nous sommes arrivés dans une grotte taillée dans la roche, qui ne m’a pas paru piégée, où Malark était attaché sur une table, en sang. Sur les conseils de la Druide Kali, qui soupçonnait une trahison (pas bête, tiens !), nous l'avons d'abord interrogé. Il semble avoir été torturé mais n'aurait pas révélé grand-chose. Alors que notre génial Panorium décida de s'asseoir sur la table, un mécanisme (finalement, il devait y avoir des pièges !) fit s'ébouler les lieux. Ce n'est que de peu que nous avons pu nous en tirer. Après une altercation avec Panorium, Kyt est partie devant pour quitter les lieux, et lorsque nous avons repris l'échelle pour ressortir, elle avait disparu.

Voilà, ils me l'avaient fait fuir. Ils auraient au moins pu attendre que je la mette dans ma couche ! Mais bref... Passons. Nous sommes donc retournés sur le navire avec Malark, qui y est resté pour récupérer des forces. Mais alors que nous menions l'enquête sur ce larbin de nobles qui aurait vu le sceptre d'Orcus, nous avons appris qu'une certaine personne... Lyn'Drakaël "Parle-aux-Morts" Morteros, ma chèèèère demi-soeur... Etait en ville.

Afin d'en apprendre plus, nous sommes allés à sa rencontre. A ma grande joie. Elle semblait être là pour redorer le blason familial... Comme si ce n'était pas mon cas ! Bref... Elle a pu nous apprendre, en toute humilité et chasteté comme à son habitude, que ce fameux larbin avait obtenu des informations qu'il n'aurait pas du avoir. D'autre part, ces gens portant la marque de l'oeil et en voulant au sceptre d'Orcus seraient membres d’un culte nommé « Culte de la Nouvelle-Vue », et le sceptre serait essentiel à leurs plans pour renverser l’empereur et prendre sa place sans passer par le Conseil Electeur, en obtenant le soutien d'un dieu. Etant donné mes exploits dans l'arène, Lyn'Drakaël a promis de nous donner des informations si d'abord je battais son cher demi-frère, Draäsolën, en duel. Ensuite, si nous nous débarrassions du marchand Nyx (qui n'est autre qu'un avatar de Kyt), elle pourrait se montrer encore plus coopérative. Pensant pouvoir le faire disparaître sans la tuer (il suffit qu'elle arrête de le jouer !) nous avons accepté, mais il nous faudrait sa queue (c'est un Tabaxi) comme preuve.

Je me prépare donc pour mon duel de demain, Tout en réfléchissant si il serait plus intéressant de faire disparaitre Nyx, ou de se rendre directement à Hilminia, où se trouverait un de leurs Chapitres.

Moralité: méfiez-vous des apparences et des gens, qu'il s'agisse d'un "Homme-Rat" expert en poisons ou d'une Drow demi-soeur magicienne...

Onzième entrée:

Lyda a perdu son combat, malgré tout notre support et nos efforts acharnés. Bien que sa soeur se soit décidée de tout de même nous donner les informations promises, car pour reprendre ses mots "Votre humiliation m'a rendu un fier service!", elle semble toujours nous mépriser, et plutot que de régler les détails directement, elle enverra un messager à notre navire pour nous donner une lettre expliquant une partie de ce qu'elle sait sur le Culte de la Nouvelle Vue, ainsi qu'un objet dans lequel nous sommes censés déposer la queue de Nyx comme preuve de son décès.

La question est donc la suivante: devrions nous accéder à sa requête et en profiter pour éliminer notre rivale, ou trouver un autre moyen de récupérer assez d'informations pour récupérer l'objet de notre mission? Dans tout les cas, ce qui semblait être un travail facile et bien payé se transforme doucement en une affaire aux implications aussi sombres que vastes... Je me demande si Neptalia se doute de l'importance du sceptre dérobé à son ami?

Douzième entrée: Lyda

Après ce... Léger contre-temps dans nos plans que fut ce combat, nous avons vu sur le navire, accroché avec un couteau, un mot disant que l'on était désolé pour notre... Dé... Fai...Te... Mais que l'on nous invitait à nous revoir, et signé "L'auberge rouge" (celle où nous avions rencontré Malark).

Nous nous sommes alors dirigés là-bas. Une baston générale était en cours. Tandis que chacun vaquait à ses propres occupations, dont participer à la bagarre pour certains, "une amie" est venue à ma rencontre, m'invitant dans une chambre. Nous nous sommes alors rassemblés et sommes arrivés plus ou moins ensemble dans la chambre.

Nous avons, sans surprise, rencontré Kyt, à qui nous avons exposé les faits, et le marché proposé par ma chère soeur: le fait de ne plus être poursuivie par Lyn'Drakaël semblait l'arranger elle aussi.

Après bien des parlementations, nous avons fini par convaincre Kyt de se transformer en Nyx pour se laisser couper la queue... De la façon la plus saine possible. Nous avons, avec l'aide d'un dénommé Argian travaillant pour elle, réussit l'opération. C'était, et je suis connaisseuse, une fort belle queue.

Une fois revenus sur le navire, nous avons rencontré un messager venant de Lyn'Drakaël qui nous a donné un sac. Nous avons mis la queue dans le sac, et celui-ci a disparu -faut-il le redire, je déteste la magie-. Surtout entre les mains de ma soeur...

Puis nous sommes allé inspecter une scène de crime. Il semblerait en effet qu'un malheureux ait perdu deux mains et la vie dans je ne sais quel rite...

Nous venons juste de recevoir la réponse de ma soeur. Apparemment, le Culte de la Nouvelle Vue, (traduit du draconique) compte parmi ses membres certaines des plus influentes personnes de ce monde... Si elle pense que cela m'arrêtera.

Mais méfions-nous tout de même: ils semblent être prêts à s'opposer à un dragon d'or et une armée. D'autre part, des contrats semblent avoir été posés sur notre tête, et nous devrons nous méfier des pirates, mercenaires et autres assassins... Bref, notre périple ne fait que commencer semble-t-il. Et nous devons appareiller tout de suite... Que les malades en mer se tiennent prêts. Et prions de nouveau la divinité des Kuo-Toaï.

Moralité: ouvrir l'oeil et le bon. Et qu'on ne vienne pas me parler de borgnes ou de types avec un bandeau...

Ahlala, il faut que je vous raconte ce que j'ai subi lors de notre dernière "aventure" !

Nous avons pris la mer, comme prévu. D'abord, nous avons eu droit aux discussions théologiques entre un mage et un paladin. En soit, ça ne me dérangerait pas trop, mais les voilà qui sont revenus avec leurs histoires de chasteté et tout le tintouin ! Et bien sûr, ils ne prient aucunement de démons ou de dieux du meurtre, du vol ou de la luxure ! Et je ne vous parle pas de notre puissante Lolth !! J'ai bien voulu m'intéresser et ai proposé des "réjouissances" pour glorifier nos dieux: ils ont refusé. Mais j'ai quand même pu rendre grâce à la déesse des Kuo-Toaï, dont il faut que j'apprenne à prononcer le nom: Blurpglouglou ou quelque chose comme ça...

Cette fois, nous avons pensé à faire des tours de garde. On ne nous aurait pas deux fois, surtout si des pirates et autres mercenaires sont à notre poursuite ! Qui sait ce qu'ils pourraient faire de nous. Bon, moi, ça ne me gênerait guère pourvu qu'il y ai des réjouissances, mais j'en connais à qui ça ne plairait pas.

Comme par hasard, c'est durant mon tour de garde (enfin, ça vaut mieux que si elle m'avait réveillé) que cette chère Arcadia a décidé de me contacter (par le médaillon magique, essayez de suivre un peu !). Apparemment, elle a entendu sa soeur parler du sceptre avec d'autres personnes. Elle paraissait furieuse et parlait d'un baron. Le sceptre que nous recherchons serait-il déjà tombé en de "mauvaises" mains ?Le seul baron que nous connaissons est le Baron Ravel, qui a quitté notre groupe...

Nous avons donc continué notre navigation, pénards. C'est là que ça a commencé à se corser: quand nous sommes arrivés à l'endroit où Kyt avait indiqué à Argian, qui nous a rejoint (essayez de suivre, je vous prie, c'est fatiguant...), quelqu'un qui pourrait améliorer notre bateau. Le paladin a évoqué je crois des voiles roses à y mettre... Charmant, mais mieux vaudrait sans doute une tête de proue effrayante, à notre image !

Bref, figurez-vous que là-bas se trouvait une cahute ressemblant à un fortin dont sont sortis une "boîte à musique" mobile et enchantée, et surtout des CANONS ! Et voilà-t-il pas qu'ils commencent à nous canarder ! Pardonnez mon langage, brave bouseux que vous devez être, mais c'est le genre de choses qui me met en rogne... Nous avons neutralisé la boîte à musique, et tant bien que mal les canons.

C'est là qu'une espèce d'être tout de ferraille est sorti, prêt à nous liquider ! Jamais vu un truc pareil, une véritable armure ambulante ! Certains ont essayé de parlementer avec lui (les sots...), mais il ne voulait rien savoir... Probablement aussi parce qu'il n'avait pas d'oreille, sinon en métal. Ca doit être dur, pour l'acoustique. Je l'ai toujours dit, la diplomatie, c'est pour les faibles ! Même si là, nous y ressemblions... C'est dur de l'admettre, mais nos coups, si forts et bien placés soient-ils, semblaient ne rien pouvoir contre sa satanée carcasse de ferraille ! Ce combat était sans doute perdu...

Puis un autre type est sorti du fortin, commandant à la créature de fer de s'arrêter. L'aspect ferrailleux, lui aussi. Comment le décrire autrement, au juste ?! Il s'avéra qu'il s'agit d'un "Forgelier", une entité forgée par la magie (je l'ai pas déjà dit que la magie, c'est de la saloperie ?!). Il nous a dit être le contact de Kyt, et avoir voulu nous mettre à l'épreuve... Maintenant qu'il voit ce que l'on vaut, on va pouvoir parler avec lui des modifications du Xénophage (notre bateau, essayez de SUIVRE !!!). Je ne crains nullement d'être mise à l'épreuve, mais ça a tendance à m'irriter quand on me tire dessus et qu'on m'envoi un bonhomme métalleux dessus pour me trancher la barbac... Bref, n'en parlons plus. Je vous laisse, je dois aller voir ce qu'on peut tirer de cette étrange (mais puissante, je dois bien l'admettre !)... "Chose".

Moralité: se méfier des hommes de fer, de la magie, et des barons !

Quatorzième entrée:

Enfin un moment de calme et de repos sans problème à l'horizon. J'avais presque oublié ce que ça faisait de ressentir du calme... à savoir, s'ennuyer ferme! Quand je suis rentré de chasse avec un peu de gibier, face-de-métal m'a dit que mes camarades étaient déjà partis à la chasse au troll. Après un moment de silence gênant, il est retourné bosser dans son atelier.

S'ensuivit deux jours d'ennui ferme, avant de voir la halfeline et la drow revenir avec trois kobolds et un bébé hippogriffe. Bon, j'ai eu peur qu'on commence à se sentir à l'étroit, mais apparemment les lézards restent avec monsieur ferraille. Ils m'ont expliqué leur histoire, mais bon... d'abord, j'aime pas trop ces bestioles, et ensuite... je m'en tape.

Là où je m'en tape moins, c'est les projets prévus pour le futur navire. Canons, chambres pour deux personnes (finies les nuits sur les planches à supporter les bruits et odeurs de tout le monde!), cuisine à bord, et même une petite écurie dans la cale avec un système pour y faire rentrer bêtes et cargaison... Par ma barbe, Paenga va être heureux!

Par contre, j'ai dû louper pas mal de rigolade! Ils auraient incinéré une vingtaine de trolls après s’être faufilés dans leur dos, échappé à une meute de loups, découvert un repaire/laboratoire secret kobold...

Quinzième entrée:

ET BAH PUTAIN! Vu comment l'empiaffé de la veille m'avait massacré, j'ai cru qu'on allait devoir versé des litres de sang et de sueur pour attraper son cousin blanc, mais la halfeline et l'elfette ont réussi à neutraliser la bestiole sans trop de soucis.

Bon, j'avoue que je suis pas friant de leurs méthodes, mais c'est vrai que si un coup à l’arrière du crane peut aussi endormir, le réveil peut s'avérer plus compliqué... Enfin, l'important, c'est qu'on a récupéré ce que monsieur Ferraille nous a demandé, et que maintenant qu'on a une charrette pour le transporter, le griffon albinos devrait se réveiller ce soir dans une cage chez notre client. M'étonnerait qu'il apprécie le changement, mais il avait qu'à se débattre avec plus d'efforts!

Par contre, le paladin commence à m'inquiéter... après nous avoir bassiné avec une promise imaginaire, il s'était mis en tête de la retrouver au village où on a pris la charrette, et voilà le déroulé de son plan: gueuler sur la place du village, alpaguer les passants, et vider des bières. Je commence à comprendre pourquoi il est pas trop sorti de son temple avant...

Seizième entrée:

MAIS QUEL ENFER! Bon, que je récapitule: on a livré le bestiau, et on a récupéré le bateau. On a retrouvé Paenga à Muick avec la marchandise intacte et trois cadavres, selon lui des idiots qui se sont dis que la pile de caisses et barils pouvait s'avérer intéressante, puis on a filé à la Divine Écluse. Une là-bas, les halfelines ont réussi à maintenir notre couverture, et même à se débarrasser gentiment du contrôleur qui essayait de soutirer plus que son du.

Et c'est là que ça devient marrant: Olizeyna, La ville qu'on est censé fouiller pour retrouver les cultistes, c'est une belle ville, hein, avec pleins de bourges, pleins d'auberges, et donc des gens avec qui "discuter". Du coup, je lâche un peu les autres pour... faire de la reconnaissance.

Sauf que non seulement il n'y a pas moyen de bosser tranquille, mais en plus tu te fais rembarrer à chaque fois que tu causes à une rombière! Et quand je reviens au point de rendez-vous, les autres me racontent des histoires de couple de noble, de scarabée maitre des clés, de prostitué enchainé, de baignoire qui brille rouge, de chutes dans les escaliers, et maintenant on doit éplucher une dizaine de lettres à la recherche d'indices pendant que Robert fait le fier et nous rabat les oreilles sur une "carrière parallèle", quoi que ça veuille dire.

Dix-septième entrée:

Moi, Paenga, capitaine par défaut du Guniter, navire amiral de la Compagnie Improbable. Voilà désormais 48 jours que je suis sans nouvelles de notre troupe. Après que la ville se soit effondré alors que j'effectuais ma surveillance du navire depuis ma modeste cabine j'ai bien sur vaillamment investigué sur l'origine de cet événement, et bien sur sur le sort de mes valeureux camarades, mais après près de quinze minutes d'intenses recherches, j'ai du prendre la décision d'interrompre les recherches afin de regagner le navire et sauver notre navire et sa petite ménagerie.

Afin de rela... Dans le souhait de... Oh et merde, je sais pas pourquoi j’essaie de faire des grosses phrases, les autres sont probablement tous morts de toute façon. Depuis l'effondrement d'une partie d'Olizeyna, les choses se sont montrées assez chaotiques. J'ai hissé les voiles vers Laelith, et après avoir (ENFIN) payé tous les membres d'équipage, j'ai discuté avec deux trois gars encore dans la marine royale , puis avec un officier, puis un officier supérieur, puis un noble, puis un autre... Je leur ai raconté que le patron a mentionné deux trois endroits en ville avec le reste de l'équipage, puis je leur ai montré le journal. Et là, paf! Me voilà officiellement bombardé Capitaine de la 23 escouade de la Divine Garde Royale! Malark est là aussi, mais il ne quitte pas souvent la cale, il aime pas avoir des officiels à coté. es gars de la Garde nous suivent sur leur propre petit bateau. Il sont sur leur propres fonds, ont leur provisions... En gros, on a une escorte gratos. Ha, et on a eu une prime de la part de la couronne! Pour "service au royaume et à sa Divine Majesté", qu'ils disent.

Quoi d'autre... Ha, ouais, les bestioles du groupe se portent bien, Capucine commence à grandir. Un des gars affectés à notre escorte était dans les écuries royales, et apparemment les griffons et les hyppogriffes, ça s'entretient à peu prés pareil. Maintenant elle chasse les rats à bord. Ho, et quelques gars ont décidé de nous rejoindre. Enfin... ils ont grimpé à bord au moment ou je larguais les amarres, et depuis ils se sont rendus assez utiles pour que je ne les laisse pas au prochain arrêt avec les autres réfugiés. Hey, si le groupe ne revient pas, au moins je serais vraiment capitaine du navire, avec un équipage et tout!